Nous envahissons les stands des éditeurs grâce aux petits cartons orange de critiques de lecteurs
C’était l’une des attractions du Salon du Livre l’année dernière, nous proposions sur les stands des éditeurs partenaires, des extraits de critiques de nos membres. On remet le couvert cette année avec plus de 500 extraits qui trôneront sur les stands de 93 éditeurs partenaires ! Saurez-vous retrouver votre critique parmi ces extraits ? Pour le savoir, rendez-vous au salon du livre et recherchez les cartons oranges sur les stands des éditeurs.
Les stands des éditeurs partenaires :
A dos d’âne, Actes Sud, Actes Sud Junior, Adabam, Albin Michel, Alexandrines, Alma, Alzabane, Atelier de l’Agneau; Au Diable Vauvert, Audiolib, Autrement, Auzou, Balivernes, Belin – jeunesse, Bruno Doucey, Bulles de Savon, ça et là, Calmann-Lévy, Cherche Midi, Chèvrefeuille Etoilée, Clochette, Critic, Delcourt, Denoël, Des Femmes, Des Syrtes, Diane de Selliers, Don Quichotte, Dunod, Ecole des Loisirs, Editions Dialogues, Editions du Chat Noir, Editions du Lampion, Editions Générales First, Editions Jouvence, Editions Millefeuille, Editions Nomades, Editions Tensing, Flammarion, Flammarion jeunesse-Casterman jeunesse-Autrement, Grasset Jeunesse, Gulfstream, Harlequin, J Editions, J’ai lu, Kero, La Grande Ourse, La Martinière, La Martinière / Seuil Jeunesse, La Musardine, Le Passage, Les Ardents, Les Editions de la Cerise, Les impressions nouvelles, Les P’tits Bérets, Les Petits Platons, Libella, Livre de Poche, Luce Wilquin, Mama Editions, Marabout, Mauconduit, Media et médiations, Mercure de France, Metailié, Mnémos, Nobinobi, Odile Jacob, Ombres Noires, Pascal Galodé, Philippe Rey, Philosophie Magazine, Place des Editeurs, Plon-Perrin, Points, PUF, Rageot, Rebelle Editions, Riveneuves éditions, Robert Laffont, Rouergue Jeunesse, Séguier, Serge Safran Editeur, Soleil, Synchronique Editions, Tabou, Taïfu, TDO Editions, Thierry Marchaisse.
Retrouvez toutes les infos concernant les stands des éditeurs sur le site du Salon du livre.
Notre table ronde
Lundi à 16h30, retrouvez Pierre Fremaux alias Petit Ours, l’un des 3 fondateurs de Babelio lors de la table ronde « Les communautés de lecteurs » animée par Sarah Polacci avec Françoise Fernandes, Laetitia Joubert, Marion, Aurelia Szewczuk, Lucie Elbe et Thomas Schrameck.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site du Salon du livre.
Un salon du livre international
Cette année, l’Argentine est le pays mis à l’honneur et Shanghai est la ville invitée.
Une délégation de quarante-six écrivains argentins sera présente à la trente-quatrième édition du Salon du Livre de Paris. On vous propose de réviser dès maintenant vos connaissances de la littérature argentine grâce à notre liste de livres sur la littérature argentine.
Cette année, c’est également le centenaire de la naissance de Julio Cortazar, auteur argentin de la fin du XXe siècle dont on vous invite à (re)découvrir les meilleures citations.
Dix-sept auteurs de Shanghai seront également présents, certains déjà traduits en français, d’autres écrivant exclusivement en chinois (pour le moment). Vous retrouverez une librairie thématique et un programme de tables rondes dédiées – dont plusieurs avec de grands auteurs français –, à l’actuelle scène littéraire shanghaienne. Nous vous avons pour l’occasion préparé une liste présentant les principales oeuvres de ces auteurs trop peu connus en France.
Pour les plus jeunes d’entre nous, on vous recommande de partir à la rencontre d’Antoon Krings, l’auteur des Drôles de petites bêtes qui vous attend sur la Grande Scène (U6) de 14h30 à 15h30 le vendredi 1er mars. En attendant, on vous propose un jeu : trouver le bon prénom des célèbres bêtes dans la liste proposée (attention, quiz marathon de cinquante questions !).
Les 40 ans de Yakari
Invité à présenter sa nouvelle aventure ainsi qu’à répondre aux questions de ses jeunes lecteurs, Derib s’est présenté sur la Grande Scène devant une cinquantaine d’enfants tout heureux de pouvoir parler avec le dessinateur, le voir dessiner en direct et lui poser quelques questions sur Yakari, l’indien qui sait parler aux animaux.
James Bond au Salon du Livre
Lorsque le créateur de James Bond, Ian Feming, passe l’arme à gauche en août 1964, il laisse derrière lui un oeuvre immense, un héros orphelin et un roman inachevé : « L’Homme au pistolet d’or« .
A la demande des ayants droits qui ne souhaitent pas laisser tomber la série -lucrative- des James Bond, l’écrivain et grand connaisseur de l’oeuvre de Ian Fleming, Kingsley Amis corrige le manuscrit de « L’Homme au pistolet d’or » et publie, quatre ans après la mort de Ian Fleming, une nouvelle aventure de l’espion intitulée « Colonel Sun ». Le roman ne rencontre pas le succès escompté mais marque une étape importante : si le personnage de James Bond a assez bien survécu à la mort de son créateur grâce aux succès répétés de ses aventures au cinéma et ses nombreux succès au box-office, l’espion survivra également dans la littérature.
S’ensuivent plusieurs romans signés par différents auteurs : à Kingsley Amis succèdent John Gardner, Raymond Benson, Charlie Higson, Sebastian Faulks , Jeffery Deaver et William Boyd, auteur d’un tout récent Solo dans laquelle James Bond visite un continent qu’il connait peu : l’Afrique.
William Boyd était ainsi présent ce 23 mars au Salon du Livre pour s’entretenir, dans un superbe français (c’est que cet auteur anglais possède une vigne en France) avec Eric Neuhoff au sujet de cette dernière aventure. L’occasion pour l’auteur anglais de revenir sur son intérêt pour James Bond autant que pour Ian Fleming.
« Ce sont les ayants droits de James Bond qui sont venus me voir, a t-il affirmé au public de la Scène des Auteurs. Ils connaissaient mes romans d’espionnage et mon intérêt pour Ian Fleming, un auteur complexe qui est presque aussi fascinant que son personnage de James Bond. J’ai accepté car ils ne me demandaient pas de faire un pastiche. Ma voix est présente dans ce roman. »
Questionné sur le cahier des charges imposé par les détenteurs de la licence James Bond, William Boyd a répondu que si celui-ci était effectivement imposant, il a tout fait pour oublier les films de la série afin de respecter le plus possible le personnage de James Bond tel que décrit par Ian Fleming dans ses romans.
Tout de même interrogé sur une éventuelle adaptation du livre au cinéma, William Boyd a botté en touche. Il a situé l’action en 1969 alors que James Bond a 45 ans, un âge charnière pour l’espion. Le fait de situer l’action à cette époque empêche selon lui toute adaptation au cinéma car les films sont toujours situés dans un cadre très contemporain. Il ne voit pas les producteurs situer l’action aussi loin dans le passé.
Avez-vous quant à vous aimé cette version Boydienne de James Bond, et souhaiteriez-vous la voir adapté au cinéma ? Partagez votre avis sur Babelio !
Valérie Tong Cuong et Grégoire Delacourt, ces auteurs qui nous veulent du bien
Deux des plus grands auteurs de best sellers actuels étaient invités cette année par le Salon du Livre pour s’entretenir autour du thème « des livres qui nous veulent du bien. » Grégoire Delacourt, l’auteur de La Liste de mes envies et La première chose qu’on regarde ainsi que Valérie Tong-Cuong, auteur de L’Atelier des miracles étaient ainsi sur scène pour parler de leurs livres et de ce qui les rapproche tous les deux dans l’écriture de leurs romans.
Tous les deux plébiscités par les lecteurs de Babelio, les romans de Valérie Tong-Cuong et Grégoire Delacourt partagent effectivement de nombreux points communs dont celui de rendre leurs lecteurs particulièrement heureux.
Des feel good books ? Grégoire Delacourt s’en défend pourtant : « C’est simplement une étiquette utilisée par des journalistes. Il ne faut pas mettre les livres dans de telles cases. Moi ce qui m’intéressait avec mes deux romans, c’était simplement de parler d’amour, de désir. C’est important d’en parler aujourd’hui. » Un sentiment partagé par Valérie Tong-Cuong qui refuse également d’être rattachée à cette étiquette de feel good books. Elle précise qu’elle ne commence jamais un roman avec l’objectif de rendre les lecteurs heureux. Elle ne sait d’ailleurs jamais tout à fait comment ses romans vont se terminer. Avec L’Atelier des miracles, son objectif était simplement d’interroger la notion de l’aide : « Jusqu’où peut-on aller pour aider l’autre ? » c’est ce qui m’intéressait. »
Le best-seller La Liste de mes envies étant bientôt adapté au cinéma, Grégoire Delacourt n’a pas pu éviter de répondre à quelques questions autour de cette sortie. S’il a eu un droit de regard total sur cette adaptation, il a déclaré ne pas s’en être servi. Le film sortira le 14 mai ! Irez-vous le voir ?
Autre scoop de la rencontre, Grégoire Delacourt a dit ne pas vouloir écrire de nouveaux livres. Son éditrice n’est évidemment pas du même avis ! Pensez-vous que La première chose qu’on regarde sera ainsi son dernier roman ?
Nous espérons que vous avez passé un bon Salon. N’hésitez pas à partager toutes vos impressions du Salon et vos photos sur le forum ou sur le twitter de Babelio !
Super, je traquerai les cartons oranges !!! 🙂
je vais traquer aussi les petits cartons orange 🙂
Moi aussi :p
Quel dommage que je ne puisse venir ! Profitez en bien 🙂
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Oui, c’était probablement une réunion très intéressante